L’envers du paysage

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"La lumière cachée enfuie dans d'étranges forêts moussues, de sombres vallées et le contour des roches."  Michèle TATU

Au fil des saisons, les paysages nous font rêver. Au printemps et en été, c’est le vert qui domine, tendre pour les bourgeons nouveaux, plus sombre pour les mousses sur les troncs et sur les branches. Les bois prennent quelquefois des allures de forêts primaires. Parfois, on se surprend à penser aux couleurs de l’été indien canadien. Des camaïeux de jaunes et de oranges tirant sur le brun à la fin de l’automne qui tranchent sur le vert sombre des sapins. Puis les bois se font silencieux quand ils revêtent leurs habits blancs des neiges de l’hiver. L’or du soleil couchant révèle alors des paysages argentés. L’eau est aussi présente sources et rivières, de cascades en lacs, et en étangs mais aussi dans l’atmosphère attribuant encore plus de mystère à des lieux qui ne demandent qu’à être découverts.